pas prévu au programme

*minables non pas pour elle mais elle ne sait quoi te dire sur ça, les regardant sans savoir en fait qu'en faire*

*elle reste debout devant toi .... elle ne sait plus rien ... plus rien de vous ... plus rien de toi ... elle ne se comprend pas elle_même et se déteste de tout ça*

*elle t'entend et prend sur elle pour s'accroupir, son coeur se serre encore plus .. en fait elle ne veut pas te perdre, avant d'arriver a ta hauteur essuie ses larmes sur ses joues*

*elle est enfin face à toi, a ton niveau mais ... n'ose plus te regarder ..tellement peur et elle est tellement triste*

*il reste là, dans un état de semi-conscience, reniflant, se entant si vide de toute énergie*

*te sentant tout proche de lui, il se sent irrésistiblement attirer par toi, mais ne sais pas quoi faire. N'y tenant plus, il finit par se jeter dans ses bras, éclatant en sanglots, laissant tout simplement son cœur se vider*

- Qu'est-ce qu'il nous arrive, Nad! Je deviens fou je crois... j'en peux plus de sentir ce gouffre se creuser entre nous.. c'est trop dur.. je sais plus ce que je fais, ce que je dois faire... je t'aime... je te déteste... je t'aime tellement et je suis si malheureux, si fatigué.

*il te serre fort dans ses bras, n'arrivant plus à contrôler rien du tout*

*en fait, elle s'en retrouve sur les fesses ^^ recevoir quelqu'un sans s'y attendre dans ses bras, ce n'est pas si simple ... surtout que tu t'es jetté dans ses bras*

*elle t'enlace ... mais elle se sent si mal en t'entendant parce qu'elle ne supporte pas non plus que vous vous en arriviez là et pourtant et même heureusement, c'est très très rare !*

- bah moi , je t'aime mais ...quand tu es comme ce matin ...

*enfin plutot hier matin*

- Je te haïrais presque .... tu me fais tellement de bien et dans ses cas là tellement de mal ! Et là, j'essayais de guérir de toi mais je peux pas, t'es trop en moi ...

*tombe avec toi et du coup se retrouve carrément sur toi, mais ne s'en rend pas vraiment compte, vu l'état où vous êtes*

*il s'en veut beaucoup d'avoir réagit ainsi ce matin. Mais en même temps, il ne peut se résoudre à passer outre le fait que sa guitare n'est plus que l'ombre d'elle-même... et puis tous ses habits brûlé alors... ça a été vraiment loin cette histoire*

- Pourquoi faut-il que l'on soit ainsi, Nad? Pourquoi on s'aime et on se déchire ainsi? ça n'a aucun sens... J'aimerai partir loin de toi et pourtant je ne peux imaginer revivre sans toi... Je t'aime tellement, c'est pas possible ça! Je pourrais hurler de rage contre toi et te supplier de rester.. je ne comprends plus rien...

*il se serre fort contre toi en pleurant. Cette scène, vue de l'extérieur pourrait paraître incompréhensible, voir grotesque, mais là c'est le cœur, le plus profond de vos âmes qui s'exprime... jamais il n'aura été aussi sincère avec toi qu'à ce moment là... moment complètement irréaliste, mais si vrai... Moment où le désespoir brise toutes barrières sociales ou personnelles... il se trouve l'âme nu devant toi, entièrement lui.*

*A cet instant, il maudit le jour où il est tombé amoureux de toi, prisonnier de toi, de ces filets d'amour tissés entre vous, prison d'amour qui vous lie à jamais. La vie était tellement plus facile, plus simple quand il était seul. Beaucoup plus fade aussi, une vie sans couleurs, sans saveur, sans avenir mais à ce moment il la regrette. Comme ça peut faire mal d'aimer!*

*les aroles que tu lui adresses la déchire, entendre de telles choses la blesse beaucoup ... Elle sait ses tords et contrôle peu de vos disputes ! Elle s'accuse et t'incrimine. Et pourtant tout en elle l'attire a toi, plus fort que tout*


*elle s'effondre, devant toi, juste elle et rien d'autre*

- Je te présente mes excuses. Je peux juste te dire plus que tout que je t'aime ! Ce n'est pas dit a la légère tu es ...

*bah voilà, comment lui dire après autant de temps*

- presque le premier si ...

*souffle, elle n'aurait jamais pensé te le dire*

*ce moment de faiblesse partagé vous rend très touchant et vulnérable aussi... le malheur, la panique rend l'homme un peu égoïste, nombriliste... par soucis de conservation, il se renferme un peu sur lui même... retrouvant ses réflexes de la petite enfance*

*plus que tout, il aimerait de tout cœur te pardonner, te dire que tout cela n'a aucune importance... Qu'après tout ce ne sont que des choses lésées dans cette histoire et que l'essentiel, toi est toujours là.. mais il n'arrive pas.. tout est si brouillé dans sa tête. Il voudrait s'excuser aussi... son cœur hurle pour te demander pardon, pour en finir avec cette histoire si troublante et lourde.*

*il n'arrive plus à faire le tri de tout ce qu'il se passe... un mal de crâne du à la situation et à la fatigue semble lui transpercer le cerveau... Il reste tout contre toi, te serrant fort*

*il t'entend tout de même lui dire que tu l'aimes et ces simples mots le ramène un peu vers la réalité... tes mots suivant, il les cernent un peu moins et se redresse un peu, te regardant*

- Presque le premier si???

*elle allait tout simplement partir se convainquant que la cause est perdue, elle s'est trompée, on lui avait dit que c'était comme ça, elle ne l'avait pas cru et le découvre a son insu ! Tout ce ci la déchire tellement ... *

*elle allait vraiment s'éloigner de toi, tu relèves ses paroles, elle ne sait quoi te répondre, ça semble si stupide après tout, ce qu'elle allait te dire*

- je ... tu .;..


*elle se redresse et te laisse embarasser*

- J'ai connu qu'une personne à part toi ! C'était qu'une erreur de soirée trop arrosée dont je me souviens même plus !

*autrement dit, tu étais le premier ou elle se donnait de plein gré et avec un amour suffisant pour le faire mais tout ça, c'est trop, elle rentre dans la maison regagnant son lit comme un refuge a sa stupidité*

*il ne pourrait te dire si c'est stupide ou pas tellement la situation lui semble irréelle, ou trop réelle? C'est peut être ça le vrai problème... mais ces questions n'ont pas place dans son cerveau. Il est juste là, te regardant, désirant vraiment comprendre ce que tu tentes de lui dire*

*il t'écoute lui dire que dans le fond, tu étais son seul et unique amour... il le comprend et sait que c'est une discussion qui mérite du temps et des confidences, mais il n'arrive pas à donner le tour. Il est tellement vidé et se contente de te regarder, essayant de trouver quoi répondre... mais voilà, l'état ne suit pas la volonté bien présente pourtant*

- oui... c'est bien... j'aime beaucoup...

*il te regarde te lever et partir dans la maison. Il reste immobile, dépouillé de toi, voulant te hurler son amour ou sa haine de ce moment, mais rien ne sort. Hors de son champs de vision, il reste encore un instant, comme suspendu dans le temps. Puis il baisse la tête, se laissant à pleurer de tristesse, de fatigue et d'incompréhension*

- Nad...

*il se relève doucement et va vers le transat où tu étais il y a pas longtemps encore et s'y couche, en position fétus... épuisé et la tête lourde et perdue, il s'endort... Même inconsciemment ses larmes ne s'arrêtent pas instantanément*

*oh ta réponse, comme elle t'en veut, elle te confie des choses tellement importante que tu traite avec une banalité un peu comme si tout ça, c'était sans importance ... C'est aussi ça qui motive qu'elle s'éloigne de nouveau de toi. Et elle ne supporte plus de se sentir déchirée entre l'amour et la haine qu'elle peut te vouer là, à la minute...Elle attend beaucoup et là, tu ne donnes RIEN ! En même temps, elle est si peu à l'écoute, qu'elle n'arrive pas a vraiment discerner ta douleur*

*elle aussi plonge dans le sommeil mais pas que là-dedans, ce qui se montre plus que certains c'est que l'évènement est bien plus marquant pour elle que la précédente dispute... le sommeil est là tant qu'il se fait lourd mais ce sont de violentes nausées qui la prenne et elle s'en réveille, n'ayant que le temps de courir aux toilettes*

*c'est vrai que là il est pas en mesure de donner quoi que ce soit. Il en a même perdu la pensée... en tout cas la pensée lucide, autrement ça ferait longtemps qu'il aurait demandé une réconciliation, voir au moins une trêve. Mais là, il est hors service, le pauvre*

*tout replié sur lui-même, il dort d'un sommeil bien agité, son subconscient le tourmentant sans complexe, choisissant les images et actions le maintenant dans le chaos du cœur, lui offrant un aperçu de sa vie gâchée de ton absence, de l'absence de son fils. Un retour en arrière dans le futur. Il en transpire et gémi de temps à autre, mais assiste encore et toujours à sa défaite, à son cauchemar, prisonnier de ce sommeil, l'enlaçant, l'étouffant, sans aucune possibilité de fuite. Il ne t'entend même pas aux toilettes, ne pouvant ainsi venir à ton aide*

*elle y reste un trop long moment pour elle, ressort avec la tête qui tourne tellement, n'a pas la force de faire plus que de se trainer a sa chambre, elle comprend même pas ce qui lui arrive là en fait. Elle a un peu oublier que tu pouvais être là mais elle sait qu'elle est rongée par l'angoisse*

*allongée de nouveau, elle a le coeur qui se sert, toujours des hauts le coeur et se rendort de nouveau ... A savoir ce qui peut bien lui prendre !*

*il dort un long moment, presque qu'à midi, loin de se rendre compte que tu te sente mais. Ainsi tout replié, ce sont les courbatures qui le réveillent et grimace de cette position bien peu confortable.*

*il met un moment à émerger malgré tout et tous les souvenirs lui reviennent, le mettant de nouveau au bord des larmes*

*il se retourne doucement sur le dos et reste un instant à regarde le ciel. Ne tenant plus couché, il se lève doucement et marche, remettant en route son corps bien engourdi.*

*il regarde vers la maison et se décide enfin à partir à ta recherche. Il ne sait pas ce qu'il veut, va te dire, ni comment, mais il a besoin de te voir. Il te cherche dans la maison et ses pas le mène à la chambre où il voit endormie, mais remarque tout de suite la pâleur de ton visage et s'en inquiète, oubliant un peu sur le coup tout ce qui s'est passé*

*il s'approche de toi et s'assied sur le bord du lit, ne sachant pas s'il doit te réveiller ou pas. Mais cette pâleur l'inquiète vraiment beaucoup*

*épuisée, on peut le dire en fait, et c'est pour ça qu'elle ne t'entend pas vraiment, elle est juste dans un demi sommeil*

*finit par se tourner et entrouvre les yeux mais souffle, les nausées la tienne, elle ne comprend pas pourquoi*

*elle referme les yeux sans même avoir perçu que tu étais là, ... en fait trop mal*

*il te regarde, ne sachant pas trop quoi faire. Tu bouges enfin, mais son mini soulagement n'est que passager. Il te voit grimacer et en est du coup encore plus inquiète, car jamais il ne t'a vu malade*

*il finit, d'ûne main un peu tremblante, par te caresser doucement la joue, te sentant bien chaud d'ailleurs. Il en grimace et sent son cœur s'accélérer. Il te parle tout doucement*

- chérie, bébé.. Qu'est-ce que tu as?

*elle tressaute en t'entendant ...elle n'a pas la force de râler et est juste elle-même, dépouillée de sa colère ; tout est suspendu*

- Je sais pas ...

*a peine audible*

- Je ...j'veux vomir ...

*il est très impressionné de te voir ainsi. Toi qui normalement est toujours très active. Tu sembles complètement vidée de toute énergie et si blanche. Il en paniquerai presque là, se sentant si impuissant en plus. Il aime pas du tout ça, se sentant dépassé par les événements*

- ho...

*te regarde, osant te caresser un peu tes cheveux, ses mots se faisant presque chuchotement*

- Tu veux que je t'aide à aller à la salle de bain?

*fait non de la tête*

- J'ai plus rien a vomir !

*souffle, elle sait pas comment se mettre, elle voudrait tourner mais ça le rend plus mal encore alors elle reste prostrée comme ça et referme les yeux*

*ben là du coup y sait plus quoi dire*

- d'accord.

*il grimace de te voir si mal, mais continue tout de même sa caresse*

- tu veux que je te laisse te reposer?

*de toute façon là il ne sait pas trop quoi faire de plus. De plus ses idées ne sont pas encore vraiment très claire*

- Je vois pas quoi faire de plus !

*elle aussi est réaliste, tu ne l'empêchera pas de se sentir mal je pense donc autant que tu te sentes libre de tes mouvements*

*il est un peu surpris de ta réponse, mais pas tant que ça en fait.. il sent bien que chacun a besoin de se retrouver un peu avec soi-même*

*il se relève du lit en te regardant toujours*

- oui.. bien... d'accord.. je vais te laisser un peu hein... si tu as besoin, je serai.. heu... dans le salon, oui.

*il hésite un peu à partir, puis se retourne et sort de la chambre, laissant la porte un peu entre-ouverte*

*il va dans le salon et se laisse tomber sur le canapé, les yeux fixés au plafond. Il est complètement perdu entre l'inquiétude, la fatigue et le sentiment que quelque chose s'est bel est bien brisé entre vous*